A suivre, les tribulations de Mayetic, ou comment les politiciens s'amusent à casser les entreprises qui leur déplaisent.
Les podcasts à écouter d'urgence : Affaire Mayetic
Vous noterez la répétition, dans le plaidoyer de Bruno de Beauregard, des termes "esclave" et "esclavage", termes qu'on nous accuse souvent, nous libertariennes et libertariens, d'employer à tort et à travers. "Je refuse d'être un esclave", affirme Bruno de Beauregard à plusieurs reprises. Il en paye aujourd'hui le prix. Chapeau bas devant un homme libre. Le journaliste qui l'interroge, lui, a l'air d'un serin, mais au moins il a eu l'honnêteté de ne rien couper au montage.
25.1.06
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1 commentaire:
Dans la même veine, on trouve aussi toutes les Officines Locales des Terroristes Etatiques pour le Racket Discret des Entreprises, à savoir les Chambres de Commerce et d'Industrie.
Pour reconnaître une entreprise qui va faire un carton en France et en France seulement, il suffit de rassembler les critères suivants :
- subventions massives étatiques
- dirigeants issus du système (grandes écoles, système de réseau)
- inscription à toutes les officines locales de perversion (chambre des métiers, du commerce, associations d'entrepreneurs diverses subventionnées elles aussi)
- actionnaires lourdement étatiques (soit un fonds d'"investissement" comme la CDC, soit un "partenaire" comme La Poste ou FT, Bull, ...)
- brevets issus de la recherche publique massivement subventionnée
- un staff plus important dans le juridique, le fiscal et la compta qu'à la vente et/ou à la R&D.
- des liens avec le politique local : mairie, député, assos, etc...
Une entreprise traditionnelle qui ne respecte pas chacun de ces points est rapidement laminée... ou s'expatrie.
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